On reproche à certains joueurs de football américain d'avoir parié sur des combats de chiens, mais comme le fait remarquer Malcolm Gladwell, on pourrait aussi s'indigner du fait que c'est le football américain qui repose sur les traumatismes craniens (chronic traumatic encephalopathy) de ses participants humains, tout comme la boxe (et de même pour le rugby, j'imagine). On est choqué de la barbarie des jeux du Cirque (où certes, les gladiateurs esclaves n'avaient pas vraiment le choix) mais la différence de cruauté est plus relative qu'on ne pourrait le croire : la société du spectacle ne repose pas uniquement sur l'humiliation collective des participants de jeux-réalité en boucs-émissaires mais aussi sur la souffrance et les dommages des athlètes qui consentent de se rendre si vulnerables par des excès nocifs des sports.
Life in the Time of the Virus: The Great Forgetting
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I probably should rethink the title of this series. It is now ALWAYS the
time of the Virus, as we wait for it to mutate once more, or for something
EVEN WO...
Il y a 1 heure
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