16 Frédéric II, jour de Sully.
36 000 mots (72%).
J'ai retiré une coïncidence excessive en modifiant un chapitre antérieur mais il y a encore une contradiction dans l'intrigue qui me dépasse (et elle est pourtant relativement simple). Plus on se rapproche de la fin, plus il va falloir renouer les fils.
C'est trop démonstratif, en partie pour des raisons de quantité. Il est plus facile de tout expliquer lourdement que de rester un peu elliptique.
Toujours pas de titre. On m'a dit que Titre provisoire sonnait idiot et sans doute déjà pris cent fois.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire