Only [William's] supposed charisma can save the country from what monarchists dread and republicans ought to hope for: King Charles III.
(Monarchy, you see, is a hereditary disease that can only be cured by fresh outbreaks of itself.)
This April alone I read three novels that employed dirigibles: Pinion (2010) by Jay Lake, Terminal World (2010) by Alastair Reynolds and Boneshaker by Cherie Priest. You can’t get away from the damned things.
They are romantic, of course, and steampunk is nothing if not a very romantic mode; they are vulnerable (how could a big bag of gas be anything but a perilous means of transport) which makes them a handy device whenever you want high drama, and steampunk is a highly melodramatic mode; and they are a good way of traveling long distances if you don’t want to invent something as sensible as, say, an aeroplane.
Une autre raison (pour ne pas en rester au freudianisme facile) me semble être l'absurdité poétique d'une machine qui semble si "onirique", si peu "mécanique", plus proche d'une sorte de baleine céleste que d'un oiseau, plus proche d'un Nuage flottant que d'une fusée. Le zeppelin est un peu au mythe de la technique ce que le dragon a pu être dans la crainte de la nature, comme une synthèse chimérique d'éléments contradictoires.
Le Zeppelin est un des rares artefacts retrofutur à avoir été réalisés pour ensuite quasi-disparaître. Il est aussi une présentation en majesté de ce même futur qui IRL a acté le futurisme par la vitesse et la disparition (nefs, bombes, miniaturisation, numérisation, virilio), là où le zeppelin fait emblème.
RépondreSupprimerTableau immobile de l'aérodynamisme. Il ne vole pas mais lévite ce qui est également un attribut divin. Et laisse contempler les chromes de la machine.