jeudi 19 juin 2008
La vie, hélas ! ne se corrige ou ne s'amende
Plus que 80 copies... Les explications de texte vont être pénibles, ce sont presque toutes des paraphrases du type "Belle marquise, vos yeux d'amour me font mourir". Si je tenais ce rythme, je pourrais finir d'ici à jeudi prochain mais je crains de perdre du temps demain avec la matinée d'harmonisation et samedi avec la fête de la musique.
J'ai repris la lecture du livre sur le monde d'Arduin (800 pages quand même...) et mon verdict devient plus favorable que dans la note précédente (mais je n'ose rétroactivement l'amender). Les 200 pages sur le pays d'Arduin sont pleines de bonnes idées qui donnent vraiment envie d'y jouer. C'est notamment grâce aux intrigues politiques. Arduin, terre cosmopolite par excellence, est emplie de portes dimensionnelles pour lesquelles tous les peuples voisins se sont entre-tués (ce qui explique qu'après les Traités de paix les Portes sont "internationalisées" et le pays est protégé par une coalition "d'occupation" en rotation des pays voisins).
Arduin est une monarchie élective, qui par la loi doit avoir parmi son couple royal un (ou une) Arduinien et un époux/se étranger. Cela signifie que le Roi et la Reine représentent des intérêts politiques assez différents (il y a encore une faction qui représente une ancienne Reine Veuve, princesse viruelandienne qui est tombée depuis longtemps).
Il faut ajouter une Chambre des Lords décrite précisément (un peu comme dans le très bon Power Behind the Throne pour Warhammer) avec le poids de chaque faction (plus le léger pouvoir de la Chambre des Communes, qui est composée d'Intendants Royaux et Gouverneurs élus). Il faut 90 voix pour emporter une décision et le Roi n'en contrôle que 15 alors que les Ducs elfes Starhammer de la Rose Brulante en contrôle 24, la Maison des Barons de Stormcrow en contrôle 23, les Archiducs Naskilion 12, et les Ducs Korohnel du Lion d'Or 11. Il y a un total de 36 Maisons nobles qui sont décrites p. 680-699 + p. 718-720 (un peu comme les factions elfes décrites dans Cormanthyr: Empire of the Elves de Steven Schend) et même un Comte Demi-Orc, Asmodeion, qui dirige un petit domaine de confédérés Orcs de ce royaume elfico-humain.
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