Ça me rappelle l'époque où l'Italie changeait de gouvernement tous les 3 mois... Du coup ces gouvernements n'avaient pas le temps d'influer sur l'économie.
Comme c'était toujours la même Démocratie chrétienne (avec le petit PSI) qui revenait tout le temps au pouvoir, il devait y avoir aussi un pouvoir continu des grandes agences gouvernementales (ENEA) et entreprises d'Etat (Enel et Eni, qui jouent le rôle des groupes EDF/GDF et Total-Fina-Elf). J'imagine que, même sans Berlusconi, ces entreprises d'Etat auraient été affectées par le processus d'unification des marchés européens.
Ça me rappelle l'époque où l'Italie changeait de gouvernement tous les 3 mois... Du coup ces gouvernements n'avaient pas le temps d'influer sur l'économie.
RépondreSupprimerComme c'était toujours la même Démocratie chrétienne (avec le petit PSI) qui revenait tout le temps au pouvoir, il devait y avoir aussi un pouvoir continu des grandes agences gouvernementales (ENEA) et entreprises d'Etat (Enel et Eni, qui jouent le rôle des groupes EDF/GDF et Total-Fina-Elf). J'imagine que, même sans Berlusconi, ces entreprises d'Etat auraient été affectées par le processus d'unification des marchés européens.
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