Via Amygdala, une sorte d'arbre généalogique de la SF (et des genres afférents) (avec commentaires par l'auteur). J'aime beaucoup le petit détail de la bulle cheshirienne isolée d'Alice qui se sépare de la romance scientifique victorienne.
Sur certains forums de SF (fiction spéculative, comme on dit parfois pour ne plus mettre "science"), on en était arrivé dans la FAQ à une prohibition d'un seul sujet, qui était la définition du Genre. Cette discussion était perpétuelle et répétitive entre les partisans de l'indéfinissablité, ceux qui parlent de simple "air de famille" en évolution ou ceux qui cherchent encore des critères plus stricts.
Bomb Cyclone
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Il y a 23 minutes
2 commentaires:
Il y a deux "a" à Nausicaa. Plus sérieusement, j'apprécie le nœud lovecraftien ; on ne dira jamais suffisamment l'importance de son œuvre.
Oui, il y a quelques coquilles (j'ai vu "Erlic" pour Elric, "Wizard of Lumeria" pour Lemuria, "Citidal of Fear").
L'horreur lovecraftienne joue en effet un rôle central. Elle est souvent plus SF que "merveilleuse" (les Dieux & Démons ne sont que des multiplicités des formes de la Vie dans l'univers) et elle influença directement la fantasy des Pulps (Howard et Leiber faillirent d'ailleurs utiliser aussi le Mythe de Cthulhu dans leurs histoires).
La branche Fantasy devrait avoir aussi une influence du jeu de rôle à partir des années 1980-1990. Le jeu a maintenant une action en retour sur le genre qu'il tentait d'émuler. Des auteurs comme GRR Martin ou Steven Erickson ont été directement influencés par leurs campagnes de jeu de rôle (même si Martin s'amuse plus à mélanger les pièces historiques de Shakespeare et Moorcock).
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