L'exposition de Monet au Grand Palais a un très bon documentaire dans l'Auditorium sur sa maison de Giverny La Maison d'Alice, réalisé par Philippe Piguet, qui appartient lui aussi à la famille Monet, et qui a pu exploiter la correspondance d'Alice, la seconde épouse de Monet.
Si vous avez une Carte Sésame du Grand palais, vous pouvez entrer encore à un moment supportable avant 9h et avant que le public ne devienne proche d'un métro de la Ligne 13 à 18h. Tout l'intérêt de l'exposition est de voir des séries (comme les Cathédrales de Rouen, les Parlements de Londres ou les meules de foin, et bien entendu les Nymphéas) et cela devient impossible dans la foule habituelle.
L'exposition refoule un peu le dernier Monet de la fin, moins apprécié, lorsque sa vue baisse après la Première Guerre mondiale et qu'il vit reclus à Giverny. Après la mort d'Alice, il n'a plus que Blanche Monet (1865-1947), qui fut sa belle-fille dans les deux sens du terme (fille d'Alice d'un premier mariage et elle épousa le fils de Monet, Jean).
Il continue la centaine de séries sur son bassin japonais qu'il a fabriqué lui-même et à la fin (comme on le voit mieux à l'expo permanente Marmottan qu'au Grand Palais) il commence vraiment à partir dans une épaisseur et une énergie, de moins en moins représentative, comme cet essai étrange à nouveau sur ce Pont japonais qu'il a refait tant de centaines de fois comme un éternel repentir ou Le Chef-d’œuvre inconnu. Cela ne correspond plus vraiment à ce qu'on a retenu de Monet de la période 1870-1905.
Bomb Cyclone
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So, I'm writing this from a friend's house, about 15 minutes south of
Grubb Street. Because Grubb Street is currently without Internet.
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Il y a 4 heures
1 commentaire:
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