Black Books arrête le vol. 4 de Casus Belli au n°50 qui devrait paraître au début de l'année prochaine, après près de 14 ans de bons services.
Le vol. 1 avait duré 5 ans de plus avec un rythme à peu près bimestriel au lieu de trimestriel (1980-1999, 122 numéros). Le nombre de pages de la nouvelle formule étant sans doute deux fois plus élevé, on peut se demander si la quantité n'est pas relativement la même.
Je continuais à l'acheter et à l'admirer (Gianni a souvent mentionné Magistrats & Manigances par exemple) mais mon Trouble de l'Attention, mon vice de paresse pathologique et ma nouvelle myopie depuis une douzaine d'années m'empêche de lire avec beaucoup de sérieux et de concentration. Je le survolais donc au lieu de l'utiliser, de le lire et relire religieusement comme celui de la première version quand j'étais adolescent.
4 commentaires:
Pour être honnête, Magistrats & Manigances — un sujet peu ordinaire, un système exigeant — était davantage l'exception que la règle.
Je ne vais pas tirer sur une ambulance, mais la quatrième mouture de CB nous avait malheureusement davantage habitués à des critiques sans profondeur et à la mise en exergue de jeux ou de systèmes déjà populaires, alors que j'attends de la presse jdr de me faire découvrir des perles que j'aurais ratées et pas de m'abreuver d'articles sur leur clone de D&D.
Oui, je comprends mais même le Casus de la période héroïque consacrait bien plus de place à AD&D ou à CoC qu'à tout autre jeu. Je ne leur reprocherais pas de faire de la pub pour leurs Chroniques Oubliées, ils parlaient quand même aussi d'autres jeux, pas seulement de Black Books.
Un élément un peu plus décevant était les couvertures. Black Books imitait la presse Jeux Vidéo en reprenant simplement des couvertures de jeux ou suppléments. Ils avaient perdu, je crois, la tradition des couvertures originales du magazine.
D'un autre côté, vu le format rikiki des pages, avoir une vraie belle illustration de couverture aurait été un peu du gaspillage. ;-)
Ouch, oui, c'est un peu pocket.
D'un autre côté, JDR Magazine, qui est resté au grand format, réutilise aussi des couvertures de suppléments.
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