Dans le premier cauchemar, je suis en vacances dans un hôtel-restaurant et je perds mon téléphone portable. Je le prends avec un certain détachement. Le patron du restaurant revient de la cuisine et dit que je dois appeler mon téléphone en utilisant le quart de melon que j'ai mangé et qui a été rapporté en cuisine après le repas. Il faut que je mâche le reste de mon melon et pas un autre et cela devrait me connecter à mon téléphone - mais les melons de la pension complète ont tous été jetés ensemble dans le même plat. Je dis que je ne veux pas mettre ma bouche sur divers reliefs à demi mangés sans être certain de pouvoir retrouver "le mien" et je commence à devenir plus anxieux de cette solution que de la perte initiale du téléphone.
Je pars de la ville avec ma famille vers la gare. Nous attendons sur le quai mais je dis que je dois vite aller chercher quelque chose mais que je vais revenir tout de suite. J'ai un peu peur de ne pas avoir le temps de revenir avant que le train n'arrive et je ne me souviens pas pourquoi je dois aller dans un bâtiment à ce moment-là. Je me perds alors dans une sorte de château touristique et je vois tout un groupe scolaire d'élèves qui m'empêchent de sortir.
Je croise alors dans un magasin de presse de la gare toute une famille. Le père de la famille ressemble à une taupe. Il veut à tout prix se faire psychanalyser par tous les gens qu'il rencontre et raconte des détails intimes insignifiants sans aucun égard pour le fait que personne ne veut l'écouter et toute sa famille réagit comme si nous devions tous être passionnés par ce qu'il nous raconte (peut-être un peu comme une culpabilité face à ce rêve que je suis en train de raconter).
J'attrape une maladie (qui me semble être une sorte de mononucléose) et vais voir le docteur qui me dit qu'il a un traitement révolutionnaire. Il l'a découvert par accident alors qu'il cherchait un remède contre une maladie qui déformait le corps en une sorte de cendrier bleu étrange, qui ressemblerait plutôt à une statue d'art moderne ou un bec de canard. Le seul défaut de ce traitement est qu'il a un très infime risque au contraire de me donner la maladie qu'étudiait le médecin initialement. J'accepte de reprendre rendez-vous pour le traitement sous la pression du médecin mais le jour du traitement, devenu plus circonspect, je change d'avis. Irrité, il me dit alors que cela me coûtera 950 euros, même si je refuse de le prendre et j'hésite alors soudain devant la perte d'argent.
Je suis encore élève au lycée et je suis délégué de mon établissement à une réunion de district dans un autre lycée. La réunion n'a aucun intérêt et je me reproche d'y être allé. Je sors de la salle en oubliant mon cartable et lorsque je reviens sur mes pas, on m'interdit d'aller le reprendre en disant que je ne peux pas assister à cette autre réunion dans la salle.
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