WOMEN are celebrating the science fiction-themed tabletop wargame that has been the default female entertainment of the last 25 years.
Personal trainer Nikki Hollis said: "Girls loving Warhammer 40K is such a cliché, but like many stereotypes there's a large element of truth.
"The best thing about 'the Hobby', as we women refer to it, is painting the little lead figures, or 'miniatures' as they're properly called.
"I love doing that classic girl thing of being of putting on pyjamas, getting under a load of duvets and painting intricate banners on a Chaos Eldar battalion."
She added: "War gaming drives my boyfriend nuts, he just wants to talk about his emotions and drink hot chocolate."
Ils ne connaissent pas Warhammer Jo !
Samira Ahmed a aussi écrit un autre article sur le fait que les soeurs Brontë, elles, en 1826, auraient adoré un jeu de figurines de ce type. Qui sait à quoi ressemblerait le Hobby si Garance Gygax avait créé le premier jeu de rôle avec un public différent en vue ?
3 commentaires:
John Carter: bonne série B, pas ramenarde, pas rouée, drôle et solaire comme du Allan Quattermain. Un péplum de l'espace des familles. Dominic "McNulty" West en bad guy: parfait et le gros chien-mascotte si suspect d'être détesté est transformé en bonne idée comique.
Oui, la plupart des critiques que j'ai vues (un peu "Geeks") disent que ce n'est pas si mal et en tout cas pas un navet absolu. Mais comme le public le voit simplement comme un remake cynique d'Avatar et que la chronologie des sources importe peu, le film était pré-programmé pour être mal considérait.
Certains cadres de Disney reprochent au réalisateur Andrew Stanton d'avoir voulu rester trop "fidèle" à Burroughs, ce qui donne plutôt envie de le voir par curiosité.
Je n'ai toujours pas vu The Wire où jouait Dominic West, mais il ne doit pas être évident d'éviter la caricature dans le vilain mélodramatique de pulp.
Il a naturellement un côté canaille irlandaise cynique qu'il arrive à transposer d'un rôle à l'autre (déjà dans 300). Je trouve drôle son incompréhension placide des motifs des demi-dieux qui l'emploient ("mais pourquoi faut-il l'épouser à la fin alors que je pourrais simplement l'exécuter ?").
Mais surtout, le film ne nous fait pas le coup de vouloir être plus malin que son propos, ce qui serait très facile. Alors ce n'est pas du Stevenson, mais le patronage est là.
Enregistrer un commentaire