Ouf, je vais enfin pouvoir feindre que j'ai fini ce bouquin.
Add. : Alan Moore est interviewé pour son second roman, Jerusalem et il explique la difficulté de continuer l'expérimentalisme "moderniste" (ou pré-post-moderniste) :
“[Jerusalem] is a very big book -- but it's very readable," he assures me when I call to ask how it's going.
"Apart from the Lucia Joyce chapter, which is completely incomprehensible."
How so? "It's all written in a completely invented sub-Joycean text. I read it through again and I can actually understand most of it -- well, all of it. But it's the only way I could have written that stuff. It's an experiment."
2 commentaires:
Bizarrement j'ai lu tout le livre sauf le dernier chapitre en me disant "tout le mode dit que c'est le meilleur, je me le réserve pour plus tard" et... je n'ai jamais fini le livre !
En effet, j'ai eu presque le réflexe inverse, je me suis jeté d'abord sur le monologue de Molly Bloom (Pénélope) en espérant y trouver un texte obscène, comme l'en accusaient les textes de l'époque. J'avais été un peu déçu par l'évolution des standards depuis 1918.
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