lundi 6 octobre 2014

Cela résume bien le débat français en ce moment


Add. On pense bien sûr à tous ces abrutis comme le nazi soralien ou d'autres provocateurs sans importance.

Mais dans le sens inverse, il y a aussi des professionnels de la rebellion qui veulent exiger des certificats de "rebellitude" dès qu'un conférencier ne partage pas tous leurs valeurs "sociétales". En l'occurrence, je ne suis pas d'accord avec certaines prises de position de Gauchet récentes mais c'est accorder une curieuse univocité à ce terme vide de "rebelle" que de prétendre lui interdire la parole parce qu'il ne serait pas assez "rebelle" tel qu'ils veulent le normer.

1 commentaire:

Nicolas Dessaux a dit…

C'est exactement cela...