dimanche 15 février 2009

Antipub



Si cette tentative de publicité des années 90 pour Los Angeles ne vous donne pas envie de raser la ville et d'y semer du sel, vous êtes plus charitables que moi.



Dommage que ce soit un peu édité avec des bégaiements. Je crois que la vidéo n'en avait même pas besoin pour paraître parodique.

Add.
Il y a des façons encore plus bizarres de vendre une ville par les essais nucléaires (via Miss Atom).

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Un truc qui me fascine toujours dans les conversations avec les nord-américains est la façon dont ils mettent en avant le nombre et surtout la diversité de restaurants dans une ville comme la mesure suprême du degré de civilisation. C'est comme ça que j'ai appris par exemple qu'il y avait trois restaurants éthiopiens à Toronto, mais seulement 1 à New York.

Phersv a dit…

C'est pourquoi ils ont inventé le "food court" comme simulation de sophistication et de cosmopolitisme.

(Je plaisante, les restos argentins de New York me manquent)

Je ne connais pas San Francisco mais j'étais étonné par la faible quantité de "ciné-clubs" et de films internationaux, même à New York (bon, pour la musique ou le théâtre, ils écrasaient sans doute Paris).

Anonyme a dit…

"mais j'étais étonné par la faible quantité de "ciné-clubs" et de films internationaux, même à New York"


Ah, ça, je ne te le fais pas dire, je ne vais quasiment plus au ciné depuis que je suis à New York, c'est probablement le truc qui me manque le plus de la France.