mardi 2 novembre 2010

Nanowrimo Log: Jour 2

3600 mots. 7%.

J'ai suivi une convention du film choral : multiplier plusieurs personnages reliés, dans l'espoir que si certains me lassent, je pourrai m'accrocher aux autres. Le risque opposé serait trop de points de vue diffus et en abandonner complètement quelques-uns sans avoir vraiment résolu leur intrigue (surtout qu'il n'y a pas de plan général de la structure).

Le chapitre 4 (mes chapitres sont très, très brefs) a plagié un chapitre du Tchouang-tseu (sauf que le Tigre est devenu un petit chat).

Le remplissage risque de commencer à se voir. Au début de chaque page, il y a un peu de plaisir quand j'arrive à trouver un ton (le discours indirect est vraiment un bon truc pour ne pas changer simplement de focalisation) mais ensuite, je commence vraiment à compter les mots dans "Outils" tous les deux paragraphes.

Je viens de m'apercevoir que le Genre se voulait en fait "comique". C'est dangereux car je crois que cela ne ferait rire que moi.

Je crains que la Contrainte de Non-Autofiction commence à devenir très relative. Tel personnage que je croyais très distant finit par parler un peu trop comme moi malgré les tentatives.

Je n'ai presque rien corrigé aujourd'hui. J'aurais dû faire un roman sur un prof et insérer ainsi les corrigés que je dois écrire dans le texte de la novella. D'une pierre deux coups.

Ou alors, le roman aurait dû être sur un blogueur qui copie-colle des liens sur les élections de mi-mandat et cela serait bien plus simple...

J'aimerais bien mettre un compte à rebours de 30 jours dans le texte lui-même. Mais ce serait trop contraignant que chaque jour distinct de rédaction soit lui-même un jour dans la diégèse.

Toujours pas de titre à part Titre Provisoire, ce qui ne me satisfait pas même d'une manière post-moderne. Je devrai choisir un titre interminable, cela prendrait quelques mots.

2 commentaires:

Fred MESTRE a dit…

Allez courage ^^

J'ai pas tout bien compris mais il me semble qu'il y a effort à fournir alors : tenez bon !

Phersv a dit…

On a le bon bout, plus que 46 400 mots.