Changes (1971), du demi-elfe britannique David Bowie est une chanson ironique et héraclitéenne sur l'instabilité de toute identité ("the stream of warm impermanence", comme le dit Bowie) mais l'adaptation de Seu Jorge pour le film de Wes Anderson, La Vie Aquatique, a des paroles moins intéressantes, où "vient mon Train" (trêm en écho de "strain" dans la v.o.) pour quitter le passé et abandonner tout regret. Le Changement ne semble plus être qu'une interconnexion entre deux stations. La première rit nerveusement de l'inconstance et la fugacité du moi, la version brésilienne affirme simplement et résolument l'irréversibilité, en un chant d'adieu (adieu à quoi ?). Mais la tonalité en portugais est presque plus jolie quand même.
A Few Crystals More 1 - Magic Rules for My Games
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I've been running an ongoing Crystal Frontier campaign using the "Fistful
of Crystals" ruleset for the past several months, and at the same time
finishin...
Il y a 10 heures
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