Les paroles sont un peu trop mccartneyesques dans le sentimentalisme (avec cette angoisse chrétienne de garçon de choeur "Et personne ne fut sauvé") mais la chanson est en partie un classique en raison des jeux d'orchestre de George Martin, qui doivent expliquer ces nombreuses reprises.
Joan Baez ne modifie pas la mélodie en 1967, mais ajoute sa voix si reconnaissable.
Le groupe américain Vanilla Fudge fait une cover psychédélique plus complexe au début de la chanson dès 1967.
L'arrangement devient encore plus audacieux avec le groupe Ides of March en 1970, puis le groupe belgo-britannique Esperanto (fondé par Raymond Vincent, ancien de Wallace Collection, connu pour leur Daydream) en 1975.
Le groupe australien Zoot a une version accélérée dont je ne vois pas trop l'intérêt, de même que la version ironiquement joyeuse d'Aretha Franklin qui joue à inverser l'élégie.
On Writer’s Block: Part 2: What I Do About Writer’s Block
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We use the term “writer’s block” to describe our inability to deal with the
emotions we feel when we face a blank page or a problem with the work that
does...
Il y a 4 heures
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