The Electrum Archive est un jeu de rôle d'Emiel Boven dans un univers original de science fantasy (j'avais mentionné sa chouette carte). Le métal y est courant et sans grande valeur mais ce qui est vraiment recherché et sert même de monnaie est les gouttes d'encre des Anciens, un dépôt noir qui peut donner des pouvoir magiques et faire fonctionner des objets comme des golems ou des aéronefs.
Au nord-ouest, dans Nol, la Cité de la sorcellerie règne l'Empereur aux Âmes Gémellaires. Au nord-est rôde encore l'épidémie des Spores Osseuses.
4 caractéristiques sur 1d4 : Agilité, Archive, Corps, Esprit et Masque (Discrétion et Diplomatie).
HP : 2d4 (à 0, on fait un test ou on meurt). Puis on détermine le background (qui donne des talents).
A chaque Niveau, on gagne +1 en une caractéristique et +2 HP (ou +1 à une seconde caractéristique).
Il y a 3 archétypes : le Fixer (équivalent du Spécialiste ou du Voleur), le Vagabond (équivalent du guerrier) et le Warlock (qui doit porter un Inhalateur à Encre pour lancer son Sort).
Le système consiste à tirer sous sa caractéristique avec un d10 (ou le meilleur de deux d10 si on a un avantage).
Le combat est comme dans Into the Odd : pas de jet pour toucher, on tire les dégâts moins la protection. En cas de maximum aux dégats, on ne tient pas compte de la protection. A chaque fois qu'on survit à 0 HP, on en garde une séquelle sur une table aléatoire. Il y a quelques armes chouettes comme le Pistolet à Spores (1d6, sauf sur les fongoïdes) ou la dague Buveuse-d'Encre qui peut se transformer en épée longue si elle reçoit des gouttes d'encre.
L'équipement est évalué comme dans Cairn avec des "10 emplacements" (2 mains, 2 sur le corps, 6 dans un sac-à-dos).
Les sortilèges du Warlock sont déterminés aléatoirement (sur un d88) avec une combinaison de Verbes, d'Objets ou d'Adjectifs.
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