Une petite manifestation (environ 1000 personnes) de certains étudiants de Kaboul lundi 26 octobre, motivée par une rumeur (qui est récurrente, malgré des dénégations) selon laquelle des soldats occidentaux auraient profané un Coran. Rien de mieux qu'un acte d'offense purement symbolique, même invisible ou sans aucun témoin, pour éveiller une indignation réelle. Elle fut réprimée.
D'habitude, dans ce genre de manifestations, ils devraient crier que la "vraie" démocratie aurait pour condition la Soumission à un code de lois formulé il y a 15 siècles.
Mais ici le sublime religieux leur permet même de rejeter une démocratie, même hypothétique ou idéale, et de manifester contre le droit à la libre expression, s'il était apporté par les "fourgons de l'étranger" ou par nos "missionnaires armés".
Avec un régime traditionaliste, taliban ou non, ils croient obtenir "l'indépendance culturelle" (vis-à-vis de l'Occident) sans la liberté politique.
Avec Karzai, ils ont encore un peu de la seconde (malgré les fraudes et corruption) mais pourraient aussi n'avoir ni l'une ni l'autre.
State of the Blog Year 6
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Thus have we reached the 6th anniversary of A Distant Chime! On to the
reflections.
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I wrote only 13 posts this year, the same as 2022 and a b...
Il y a 1 heure
2 commentaires:
Zut! J'avais hâte d'assister à la première gay pride à Kaboul. C'est raté alors?
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