Le hobby du jeu de rôle a beau avoir décliné depuis son sommet de popularité dans les années 80, je suis toujours étonné qu'il garde encore depuis 30 ans un air de "marginalité" que peu d'autres loisirs ont (les jeux vidéos sont nettement plus mainstream socialement par exemple). Même les dénégations dans le court reportage lié à cet article du Boston Globe aujourd'hui ("non, je n'ai pas honte de jouer encore, je n'en parle seulement pas pour ne pas être impoli"), on sent que ce n'est pas tout à fait un loisir aussi acceptable que la mycologie ou le bird-watching, et qu'il faut toujours demander des excuses de jouer. Et je ne peux pas ne pas ressentir le même embarras quand on me demande pourquoi j'aime les dés polyhédriques.
"The Internet is the way you find players, because you are not going to randomly meet guys or gals out there who play," said Tahsin, who enjoys playing the role of the dungeon master. He recalls not immediately telling his wife about his love for the game when they began dating. "It's still seen as a little bit embarrassing." He said his wife doesn't mention his hobby to her friends.
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