35 281 mots 70,5% du roman est fait, retard d'hier rattrapé de justesse. Plus que 9 jours et 14 720 mots...
Le long chapitre XIX n'est toujours pas achevé mais j'ai sauté au suivant parce que je ne trouve pas encore de "chute" à celui-là.
Dialogue improvisé au chapitre XX entre la Salamandre et une lavandière. Je ne savais jamais à chaque phrase ce qui allait avoir lieu ensuite, ce n'était pas déplaisant mais pas très rapide.
Lu un peu du livre posthume de David Graeber, The Dawn of Everything. Les critiques disent qu'à la fin, il était devenu de moins en moins sérieux dans son érudition et de plus en plus simpliste ou militant. La partie sur Rousseau (où il dit que ce n'était qu'un hypocrite flatteur de la Cour qui a tout volé aux vrais penseurs amérindiens) paraît effectivement un peu ridicule (même s'il y a tant de choses qu'on pourrait reprocher à Rousseau, que ce soit sa misogynie ou le fait qu'il veuille interdire les livres à Emile), mais au moins cela m'a donné envie d'en savoir plus sur ce Baron libertin, le Baron Louis-Armand de Lom d'Arce de Lahontan (1666-1716), qui écrivit ses Dialogues avec un Sauvage (1703) bien avant l'Ingénu ou le Supplément au Voyage de Bougainville (par une coïncidence étrange, le territoire de Lahontan avait appartenu cent ans avant à Monsieur de Montaigne...). Lahontan (ou La Hontan) avait 20 ans de moins que Leibniz mais finit aussi du côté de Hanovre vers la même année, à 50 ans.
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