40 408 mots. 80,8%. Chapitre XXIII.
J'ai à nouveau attrapé un rhume, avec un mal de crâne suspect et j'ai dormi toute l'après-midi. J'avais décidé à 15h d'arrêter Mummo. Mais j'ai réussi à faire mes 2000 mots assez vite en deux heures ce soir parce qu'Armide s'est occupée des enfants. Il y a certains chapitres qui sont parfois inachevés (le long XIX où je ne trouve toujours pas de chute) et que j'arrête abruptement plutôt que de rester bloqué.
On verra si j'ai assez d'énergie pour continuer. Sinon, ce serait assez curieux de n'abandonner qu'à 80% et non pas à 20% comme la plupart des Nanowrimoteurs.
Contrairement au premier essai, je crois que je ne serai pas arrivé à une "fin" ou un dénouement acceptable le 30 novembre. Il vaut mieux une novella inachevée qu'une fin bâclée. Il me suffit d'atteindre les 50 000 mots même si on n'est pas encore à une "fin". Je cesserai d'importuner les lecteurs si je poursuis en décembre.
3 commentaires:
Le point de vue d'un lecteur: si d'aventure vous poursuivez en décembre, ça risque de devenir encore plus intéressant, puisque les préoccupations nanowrimiennes telles que le comptage des mots céderont la place à d'autres plus stimulantes, comme le besoin d'écrire des dialogues percutants, d'éclairer des événements passés par des révélations tardives, etc.
La convention a des effets pervers de remplissage : on se sent plus comme un scribouillard de feuilleton payé au mot que comme un auteur.
Et on est privé du plaisir de rayer d'un trait de plume des paragraphes entiers!
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