dimanche 29 mars 2009

Kokille



La supériorité de la presse écrite repose sur leurs éditeurs et correcteurs.

2 commentaires:

Cardamome : a dit…

Totale terreur !

Alors, ça, et ceci :
http://www.rue89.com/2009/03/29/les-medias-doivent-ils-reecrire-sarkozy-quand-il-fait-des-fautes

et c'est toute ma profession qui est résumée :-)

Phersv a dit…

Cela me rappelle une retranscription d'une interview d'un certain prix Nobel de physique proche de la Cogema que j'avais faite en 1997 où il était d'une brutalité assez vulgaire. Quand je lui avais envoyé le texte avant publication pour vérification, il avait tout retiré en refusant de reconnaître ce qu'il avait déclaré et en s'étonnant que je n'aie pas fait mon travail en ne le censurant pas.

Guillon avait fait une imitation de toutes ces fautes de français.