Judith Miller, la propagandiste qui avait transmis au New York Times toutes les manipulations de Dick Cheney ou les mensonges d'Ahmed Chalabi, reproche à Wikileaks de ne pas assez vérifier ses sources.
Depuis qu'elle a été virée du NYT, Miller a sans doute cherché à sauver sa crédibilité en travaillant pour des médias très neutres comme FoxNews et Newsmax.
L'affaire Valerie Plame a donné deux films opposés : le pénible Nothing but the Truth (2008) avec Kate Beckinsale dans le rôle de Judith Miller et qui tente d'en faire une héroïne féministe de la liberté d'expression avec une fiction très éloignée de la réalité et Fair Game (2010) avec Naomi Watts dans le rôle de Valerie Plame-Wilson et qui prend le parti de l'agent dévoilée par Miller.
Theatre: A Very Wooster Holiday
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*Happy Christmas, Jeeves* by Heidi McElrath and Nathan Kessler-Jeffrey,
directed by Karen Lund, based on the stories of PG Wodehouse Taproot
Theatre Com...
Il y a 2 heures
2 commentaires:
Quand on la peignait encore comme une résistante à l'oppression judiciaire Étasuno-Bushienne, j'ai entendu, de mes oreilles entendu, un journaliste de Canal Plus (Léon Mercadet si je me souviens bien) dire que son père, Arthur Miller aurait été fier d'elle!
Je crois que c'était avant que les gens de Canal ne découvrent wikipedia :-)
C'était peut-être sur Wikipedia pendant quelques temps au moment où ils ont vérifié !
Mercadet a l'air relativement plus sérieux que Marie Colmant, dans le même genre.
Mais on a bien relié Judith à un autre Arthur, Arthur Sulzberger, une rumeur, sans doute sexiste, disant qu'elle était sortie avec lui et que cela expliquait pourquoi le NYT avait mis si longtemps à la renvoyer (même s'il y a aussi son Pulitzer et le fait qu'elle avait en fait une bonne réputation avant qu'on découvre qu'elle n'était que l'agent des néo-cons dans la rédaction).
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