Parfois, on peut avoir l'impression que la vie entière est une sorte de plaisanterie qu'on est le seul à ne pas comprendre. Par exemple, les Zombies. Les gens les trouvent irrésistibles. La moitié des comic strips que je lis se contentent d'ajouter "Braiiiins" en dernière case comme si c'était déjà drôle (par exemple sur cette photo de Hillary Clinton). Ces dernières années, Marvel a mis des zombies dans presque toutes ses couvertures et de toute évidence j'étais le seul dans cette dimension à être lassé (même des vambies).
Mais là, des zombies chez Jane Austen, je baisse les bras, je ne veux même plus essayer de comprendre.
Untitled
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A strange warm spell has descended upon Boston.Oh what a day, and
night...Now, I'm listening to your music and lovely voice.Lovely moon.
Il y a 3 heures
4 commentaires:
Que le zombie se montre.
En y réfléchissant, un roman La Princesse de Clèves contre les Zombies (où elle lutte contre le cadavre mort-vivant éborgné du roi Henri II) pourrait être une bonne idée (ne serait-ce que pour réconcilier le Chef de l'Etat avec la Princesse).
Du moment que ça fait rire les économistes... Never, ever, feed the zombies.
Les zombies intéressent aussi beaucoup les philosophes.
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