L'innommable Voldemort, hier, dans ses Voeux, qui semblaient exactement aussi emplis de clichés que les précédents :
Je crois que mon rôle est de convaincre et de rassembler non de heurter et de diviser. C’est ce à quoi je me suis efforcé dans le respect de tous.
Discours du 11 décembre à Vandoeuvre-Lès-Nancy :
Je suis heureux de me trouver parmi vous en Lorraine, parce que la Lorraine, c'est la France, la véritable France, telle que je la connais, telle que je la ressens, telle que je l’aime.
Ici, c’est la France dont on parle peu, parce qu'elle ne se plaint peu. Ici, c’est la France qui croit au mérite, à l'effort, c'est la France qui veut qu'on la respecte.
On ignorait qu'à Paris, dans la fausse France, on refusait le mérite et qu'on voulait être méprisé et piétiné.
Les journalistes ne mentionnent que le terme vide de "politique de civilisation", qui comme d'habitude chez Guaino, ne veut rien dire à part qu'il n'a rien à dire.
Et quant à ces divisions, je ne parle même pas de sa nouvelle forfaiture contre la laïcité dans son discours d'allégeance à Latran, où il tenait à réaffirmer le baptème de la Nation et reprochait à la République de ne pas s'être intéressée à "l'Espérance" - ce en quoi il confond République et Théocratie. Il est allé jusqu'à reprocher aux enseignants de ne pas savoir inculquer la superstition : "Dans la transmission des valeurs et dans l'apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l'instituteur ne pourra jamais remplacer le pasteur ou le curé parce qu'il lui manquera toujours la radicalité du sacrifice de sa vie et la charisme d'un engagement porté par l'espérance. "
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